VENDREDI 24 JANVIER // BW AGEN FATAL BAZOOKA en SHOWCASE
Le personnage de Fatal Bazooka trouve son origine en 2002 dans un sketch du Morning Live, que les membres présentaient à l'époque sur la chaîne télévisée M6
Fatal Bazooka publie son premier single, Fous ta cagoule, en 2006, écrit par Gérard Baste, est celui qui le rendra célèbre. Le single atteint la 1re place des charts en France et Belgique, et le top 8 en Suisse4.
Le 28 mai 2007, Fatal Bazooka sort son premier album, T'as vu ?5, qui contient plusieurs singles à succès. Le premier single, Mauvaise foi nocturne, sorti cette même année, également écrit par Gérard Baste, parodie de bout en bout la chanson/clip Confessions nocturnes de Diam's et Vitaa. Fatal parodie le personnage de Diam's, tandis que Pascal Obispo, alias « Vitoo », parodie Vitaa6. Le style musical est identique à la chanson originale, mais les paroles sont modifiées. Le clip met en scène une histoire semblable à Confessions nocturnes, où Fatal et Vitoo tentent de reprendre le dessus sur la copine de Vitoo, qui se venge d'avoir été trompée par celui-ci. Il existe au moins quatre versions de cette chanson, comprenant chacune des parties différentes (notamment la scène dans la voiture, après avoir quitté l'appartement de la demoiselle).
Le troisième single de Fatal Bazooka, J'aime trop ton boule, aussi sorti en 2007, parodie les chanteurs de ragga tels que Lord Kossity et Sean Paul. Le début du clip met en scène l'arrivée de Fatal dans une boîte de nuit. Le clip fait d'abord croire qu'il tente de séduire une fille, puis la fille est littéralement écartée, et l'intérêt de Fatal se porte finalement sur un homme (joué par Magloire). Le reste du clip est un hymne plein d'humour au corps masculin, avec un homoérotisme décomplexé. Dans une séquence du clip, les deux hommes (Magloire et Fatal Bazooka) se frottent langoureusement, tout en utilisant des perceuses électriques sur des planches de bois, parodie des filles faisant du bricolage de façon suggestive dans le clip de Satisfaction de Benny Benassi. Une autre séquence du clip parodie celle du single house d'Eric Prydz Call on Me, qui met en scène une séance de fitness langoureuse entre filles : dans la parodie, tous les participants sont des hommes[réf. souhaitée].