|DIAMOND DOG| Une référence évidente à Bowie comme le point de départ d’une réflexion artistique, sensible, tourmentée et foisonnante de références à la culture pop. La vision dystopique punk et poétique de Diamond Dog commence à prendre forme en 2020 et se concrétise avec le groupe au complet en 2021. L’écriture et l’interprétation des morceaux puise son identité dans les origines de la new wave de la toute fin des 70’s. De ce fait, le groupe résonne sur des titres rythmés, dansants, propulsés dans un écrin vaporeux aux sonorités synthétiques où le chorus règne en maître. Le quatuor originaire de Dijon, emmené par un chant lead incarné et viscéral, s’exprime ainsi sur scène à travers une atmosphère incandescente empreinte de la fureur des Cramps, des mélodies romantiques de Liszt, de la poésie de Kipling ou du cinéma de Lynch. |VENIN CARMIN| Biberonné à l'underground 80's le plus total, mais ne cachant pas son béguin pour la pop, Venin Carmin délivre une pop sanguine, un coldpunk sans concession, une new wave sans détour. Venin Carmin, c'est un bonbon au poison terriblement addictif. Véritable défouloir purificateur, la colère et le cynisme tiennent une place de choix. Il est ici question d’urgence, de malêtre, d’absurdité retranscrits dans notre univers, avec nos codes. Nos codes, ce sont la basse et les synthés. La voix de Lula, son timbre singulier, pop et mordant, se détache pour mener les morceaux par des mélodies entêtante et inoubliables, portée par une basse incisive et glacée. L’aspect légendaire s’illustre également dans le choix des synthétiseurs : nous affichons nos influences en piochant dans les iconiques Yamaha DX7 et Korg MS20, plaçant ainsi le projet aux croisements entre Martin Gore, Kim Wilde, Frustration, Nova Twins.